4 idées pour mieux pêcher en famille

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Je déteste le dire, mais parfois les parents ne sont pas les meilleurs copains de pêche. J’ai vécu cette situation à différentes étapes de la vie de mes propres enfants. Parfois, il est difficile pour eux de faire la différence entre se faire dire de « faire ses devoirs » et de « le jeter là-bas ». Pour éviter que la marmite ne déborde, j’essaierai de faire venir quelqu’un d’autre qui pourra ajouter une perspective de pêche familiale différente. Tout ce qui retient l’attention de mes enfants pour qu’ils continuent à pêcher est la partie la plus importante. Voici quelques options différentes à considérer.

  1. Un autre membre de la famille. Les oncles, les tantes et les cousins ​​​​sont d’excellents choix. Ils offrent une dynamique différente d’une partie de pêche en famille. Ils sont considérés comme des éducateurs plutôt que des exécutants, et s’ils vivent plus loin, ils transmettront différentes techniques qui viennent de leurs eaux natales. Un grand-père est un compagnon de pêche idéal, principalement parce qu’il a tendance à être le plus patient, qu’il a beaucoup d’expérience et qu’il peut raconter des histoires de pêche d’il y a longtemps.
  2. Amis de la famille. Parfois, les conseils d’un ami, d’un voisin, d’un entraîneur ou de quelqu’un à l’église parlent mieux aux enfants que ceux d’un parent. Il y a un peu de distance entre les deux, un manque de familiarité et une meilleure réceptivité.
  3. D’autres enfants. L’enseignement par les pairs peut générer une grande intensité chez un jeune pêcheur. Certaines relations avec des amis ou des partenaires sont compétitives, et un peu d’inspiration pousse les jeunes pêcheurs à faire de leur mieux. D’autres relations sont éducatives, en particulier si un pêcheur est plus expérimenté que l’autre. Ils s’apprendront mutuellement les ficelles du métier, et de nombreuses améliorations peuvent être réalisées en peu de temps.
  4. D’autres pêcheurs dans l’eau. Un jour, ma femme et ma fille martelaient du poisson. Deux enfants dans le bateau à côté de nous n’ont rien attrapé. Un jeune homme a crié pour demander conseil, nous nous sommes approchés et avons partagé quelques idées. Leur problème était une solution simple, leurs leurres de pêche étaient trop gros alors ils les ont suivis mais ne les ont pas attrapés. Nous avons donné aux gars différents leurres de pêche en plastique souple à essayer, et en quelques instants, ils ont été accrochés.

En fin de compte, peu importe de qui nous apprenons ce que nous apprenons. Et quand nous aurons fini d’apprendre à pêcher et où pêcher, nous pourrons tous continuer à pêcher en famille. C’est une question de partage, notamment pour pouvoir pêcher plus !


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tom keker

tom keker

Tom Keer est un écrivain primé qui vit à Cape Cod, Massachusetts. Il est chroniqueur pour l’Upland Almanac, rédacteur pour le magazine Covey Rise, rédacteur pour Fly Rod and Reel et Fly Fish America, et blogueur pour le programme Take Me Fishing de la Recreational Boating and Fishing Foundation. Keer écrit régulièrement pour plus d’une douzaine de magazines de plein air sur des sujets liés à la pêche, à la chasse, à la navigation de plaisance et à d’autres activités de plein air. Lorsqu’ils ne pêchent pas, Keer et sa famille chassent les oiseaux des hautes terres en plus de leurs trois setters anglais. Son premier livre, A Guide for Fly Anglers on the New England Coast, a été publié en janvier 2011. Visitez-le à www.tomkeer.com ou dans www.thekeergroup.com.

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