Programme de restauration de la faune et de pêche sportive

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Le programme de restauration de la faune et des poissons de sport (WSFR) est l’un des secrets les mieux gardés de l’industrie. Et cela ne devrait pas être le cas, car chaque fois que les plaisanciers et les pêcheurs achètent de l’équipement, achètent un permis de pêche ou font le plein de leurs bateaux, ils appuient le programme.

Le programme a été créé par le US Fish and Wildlife Service (USFWS) il y a un demi-siècle avec une mission simple : conserver et gérer des quantités de poissons et de gibier. En cours de route, ils ont créé des programmes qui profitent immédiatement aux pêcheurs et aux plaisanciers (comme le repeuplement du poisson ou la réparation d’une rampe de mise à l’eau) et des projets à long terme (comme la recherche ou l’augmentation du nombre de pêcheurs). Cette approche présent/futur est bonne.

Quelques faits rapides :
-Entre 1952 et 2014, WSFR a démontré 7,9 milliards de dollars en subventions de restauration de la faune et de pêche sportive aux agences d’État pour la pêche et la faune
-L’année dernière, WSFR a financé 337 projets d’accès à la navigation pour un total de 60,5 millions de dollars.
-L’année dernière, WSFR a financé 130 projets d’éducation aquatique (éducation, intendance et conservation) pour un total de 17,6 millions de dollars.

L’USFWS s’efforce également d’augmenter le nombre d’associations nationales. De nombreuses mains effectuent des travaux légers, il est donc essentiel d’augmenter le nombre d’intervenants. Tout groupe qui utilise l’eau est candidat, donc les conseils de voyage/tourisme qui font la promotion de la natation, de la navigation de plaisance, de la voile, de la navigation de plaisance ou du camping sont des opportunités de réseautage. Des groupes qui dépendent de la qualité de l’eau, tels que l’aquaculture pour élever des poissons ou des pêcheurs pour les coquillages, sont également contactés. Plus nous recevons d’aide, plus nous pouvons améliorer notre environnement.

WSFR fait plus que payer des projets ; ils y sont aussi très impliqués. Dans les zones intérieures, des améliorations de l’habitat sont apportées aux étangs d’eau douce, aux lacs et aux rivières, tandis que les États ayant des côtes d’eau salée peuvent mener des travaux de conservation de la pêche sur les plages, les estuaires, les étangs salés ou les plaines. L’amélioration des rampes de mise à l’eau est une grande priorité, tout comme la gestion des pêches. Parfois, la génétique des poissons est étudiée et des récifs artificiels sont créés. Des enquêtes régulières font également partie du mélange et sont particulièrement utiles au niveau de l’État. Selon l’enquête, les questions peuvent aller du profilage des utilisateurs pour comprendre qui pêche et navigue dans quelles zones ou espèces les pêcheurs pensent avoir besoin d’aide.

Peut-être que le programme de restauration de la faune et de la pêche sportive est comme le héros méconnu, un joueur de ligne de football. Mais c’est un excellent programme qui aide certainement à mettre le ballon dans la zone des buts.

Tom Keer est un écrivain indépendant primé basé à Cape Cod, Massachusetts. Rendez-lui visite sur www.tomkeer.com ou sur www.thekeergroup.com.


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tom keker

tom keker

Tom Keer est un écrivain primé qui vit à Cape Cod, Massachusetts. Il est chroniqueur pour l’Upland Almanac, rédacteur pour le magazine Covey Rise, rédacteur pour Fly Rod and Reel et Fly Fish America, et blogueur pour le programme Take Me Fishing de la Recreational Boating and Fishing Foundation. Keer écrit régulièrement pour plus d’une douzaine de magazines de plein air sur des sujets liés à la pêche, à la chasse, à la navigation de plaisance et à d’autres activités de plein air. Lorsqu’ils ne pêchent pas, Keer et sa famille chassent les oiseaux des hautes terres en plus de leurs trois setters anglais. Son premier livre, A Fly Fisherman’s Guide to the New England Coast, a été publié en janvier 2011. Visitez-le à www.tomkeer.com ou dans www.thekeergroup.com.

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